Empéché en 1979, de continuer, un peu comme Hermann Schmidt et d'autres à cause de cette stupidité de vouloir interdire les sides modernes, et après que la FIM mette deux catégories pour 1979. Je suis obligé d'arrêter pour payer mes 60'000.- de dettes. Je travaille à fond, je crée deux commerces et en 1982 je vais voir une course side-car au GP du Nürburgring, et, c'est reparti pour une saison et deux courses. En 1983 je casse mes deux moteurs et j'ai de nouveau des dizaines de mille de dettes, je dois arrêter. Trois ans après,  je rencontre deux pilotes de rallye,  des rallymens du Jura Suisse. Avec des moyens lamentables je ferai mon entrée avec une monable Golf GTI quasi d'origine avec un arceau, ce qui démontre que s'était pour seulement retrouver l'ambiance des courses, et ensuite avec une R5GT turbo.

Là, cette R5 gr.N est bien plus adaptée et je fais des places dans les trois premiers de classe et de groupe, même deux fois des scratchs toutes catégories, mais personne, même pas les journalistes ne font ressortir cela et je pourrai ne me payer qu'une vingtaine de rallyes.

Critérium Jurassien, Rallye de Court, Alpes Vaudoises, Genève Le Salève, Turin, Tessin, St Cergue, Mont Blanc, Alsace-Vosges avec des budgets comme un couple qui sort en week-end. Et des réussites assez sympa quand même: des chronos excellent devant la Mitsubishi Rally Hart Holland de Markus Hopf sur plusieurs ES du Rallye de Court. Pas de sponsors, 

délicat de trouver des navigateurs avec du métier, dont impossible d'aller plus haut ou en groupe A !

Pour mon dernier rallye en 1992, avec mes potes d'Annecy, Hervé Greffet (NEO) m'ont monté une R5GT super. On était au 5ème rang au général, 1er en N et 1er à l'EuroTrophée, j'ai fait un peu trop le fou pour finir à cette superbe place contre les groupes A/NGT Porsche et j'ai un peu cassé la super R5GT de NEO Annecy.